jeudi, décembre 16, 2010

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Demain est possible puisque tu es là

Mirror! Wikileaks! Vous aurez compris que des miroirs tombent les masques crasses? Wikileaks en perpétuété à moins que l'empereur,surfant sur sa sa métissitcité populaire, nu, humililiant sa base démocratique comme en 2009 à Tel aviv en discourant pour la droite Israéliene, en cadeaux missiles, nucléaires devant le mouvement de droite de Netanyahu ébahi.
J"aurais aimé prendre ces gens à la légère. Mais ils ne voient pas comme  tu me vois. Nous sommes leur bête, et également leur financement. lls prennent la poche et s'enmerdent avec les petites gens. 1150 aire du supplice de frederic, le germain empereur romain.

Nous sommes devant un usurpateur. Quoique Stephen Harper et ses canadiens omnibulés par sa poignée de main à son fils puissent tenter d'évader la réalité, son fils nous, ou vous dira sûrement que c'est un pauvre fruit de criminel de guerre, qui devra s'asseoir à La Haye.  Comme son père, Bush et Obama. Pauvre garçon.

jeudi, décembre 09, 2010

Métro de Montréal, ça rame

Les wagons sont bondés et le train s'immobilise à la façon d'un poumon congestionné, rendant son dernier soupir.
Une voix, empesée de censure et très familière aux usagers, annonce un ralentissement de service, oh! bonheur, sur l'autre ligne.
Tout en regardant autour de moi, je m'imagine la forme élancée des prochaines rames, dont le béat maire Tremblay discute avec de jouissives entreprises.
Je finis d'évaluer le nombre de têtes de pipes sur le quai. Il n'y en a pas plus que les années auparavant.
Pourquoi ce qui presse tarde?
Le départ est lent et sourd.
Quoiqu'on ait retiré la moitié des bancs, ça déborde.
Avec mollesse, des fesses et des ventres massent mon corps, comme une mer ballote les algues.
Un ballet aux grasses effluves.
Sont debout et assis, des vieux et des jeunes obèses.
J'imagine des rames bedonnantes, creuses comme des tonneaux.