Dans la mouvance de radicalisme qui se passe au sud, cette nouvelle en rubrique, était à prévoir et la prochaine génuflexion de notre gouvernement est déjà en action. N'avons-nous pas déjà des douaniers américains qui, après avoir juré allégeance à la Reine, ont le statut de policier canadien et patrouillent le Saint-Laurent? Ne nous servons-nous pas déjà de la "no fly list" américaine, tout en sachant que Edward Kennedy, des journalistes et des juges qui se sont opposés à l'administration Bush et jusqu'à Cat Stevens y figurent?
Maintenant, on devra les informer de notre identité, de notre race, etc. et ce, lorsqu'on survole leur pays à des kilomètres d'altitude? Hé! Est-ce légal? Ont-ils vraiment des droits sur les vols commerciaux à haute altitude? Et nous n'avons qu'une plage de 10 jours pour réagir? C'est pas possible. Et le ministre Cannon n'était pas au courant??? Vous avez vu et entendu sa réaction... Un mollasson, ou est-ce un hypocrite? On veut le savoir.
Voici les infos que nous avons déjà permis à la Transportation Security Administration de glaner lorsque nous voyageons chez eux : http://www.unsecureflight.com/vacuum.html On appelle ça du profilage.
En février 2008, les Américains ne pourront plus voyager dans leur propre pays et encore moins en sortir sans avoir la permission de cette Transportation Security Administration : http://dmses.dot.gov/docimages/p102/484384.pdf
Ils n'en débattent pas sur CNN ou CBS. http://www.dailykos.com/storyonly/2007/9/17/9846/64393 Les citoyens en seront informés quelques jours avant la mise en application. Comme ici, on leur donnera peut-être un dix jours pour s'organiser et réagir. Et Vlan!
Ce sont Staline et Hitler qui seraient béats d'admiration.
Il faut que nos médias publics enquêtent sur la vraie nature de ceux qui gouvernent nos voisins du sud et de leurs intérêts. Qu'ils nous en informent. Le citoyen informé poussera l'élu canadien à reprendre ses sens, peut-être retrouver assez de dignité pour se relever, se masser les genoux et commencer à remplir son mandat ; représenter NOS intérêts. Dans ce cas, il sera appuyé avec force et sans retard par la majorité. Sinon, pour un temps il continuera à être considéré avec le peu d'estime qu'inspirent les gens à genoux ou les hypocrites. Jusqu'à ce que, réalisant de facto la disparition de ses Droits, le peuple se fasse un devoir de les récupérer.
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